« La gratuité des transports : une idée payante? » en librairie le 18 mars

La gratuité engendre-t-elle une moindre qualité de service et davantage d’incivilités?

Les bus gratuits sont-ils vraiment remplis d’anciens cyclistes?

Peut-on dire de la gratuité qu’elle constitue une mesure écologique?

Actuellement, 37 villes françaises pratiquent une forme de gratuité dite totale de leur réseau de transport en commun: la gratuité y est effective tous les jours de la semaine, pour toutes et tous, sans critère d’âge, de lieu de résidence ou de situation financière. Alors que peu d’hommes et de femmes en politique osent remettre en cause la gratuité lorsqu’elle est effective; chez les experts de la mobilité, on se déchire.

Difficile d’y voir clair tant le débat est passionné, donnant davantage à voir dans les médias des schémas idéologiques solidement ancrés que des faits étayés…

C’est dans ce contexte que Maxime Huré (VIGS) et les spécialistes de l’Observatoire des villes du transport gratuit ont rédigé cet ouvrage. Leur ambition ? Décortiquer le fil des idées reçues les plus fréquemment entendues, aller au-delà du clivage « pour ou contre » et, enfin, considérer la gratuité pour ce qu’elle est: une politique publique comme une autre.

Ouvrage coordonné par Julie Calnibalosky (VIGS) et publié avec le soutien de l’Agence d’urbanisme de Flandre-Dunkerque, des associations VIGS et P2M, et du Forum Vies Mobiles.

Communiqué de presse // La gratuité des transports : une idée payante ?  

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